A peine étaient-elle arrivée à Londres que déjà Marion, la nourrisse, voulait aller déposer l'argent allouer a Enid par son arriéré-grand-mère qui géraient toute la fortune de la famille à la banque des sorcier. C'était au plus grand déplaisir d'Enid qui voulait déjà visiter et enter dans tous les magazin. Elle trouvait le chemin de travers un peut sinistre à coter de l'allée des merveilles de paris. Toutes les maisons en vielles briques lui semblait vouloir s’effondrer d'un moment à un autre. Elles s'étaient misse d'accore pour retrouver la préceptrice, Louise, au chaudron Baveur, juste après. Et quand elles aurait défait leurs bagages, elle pourrait enfin faire les magazins.

« Pourquoi le battiment-est-il panaché ? » demande-t-elle en s'approchant de la batisse blanche. Elle fessait le coin de deux toutes petits rue, dans l'une d'elle un pont reliait la banc à l'autre coter de ruelle et dans l'autres, des charpentes retenait la banque pour ne pas qu'elle s'écoule. cette architecture saugrenue amusait le petite fille presque autand qu'elle l’intriguait.

« Je n'en ai pas la moindre idée » Répondit Marion qui ne lui lâchait pas la main « Les anglais ont parfois des goûts étranges... Dépêchons nous d'entrer, j'ai hâte de pouvoir prendre une douche. ». Les explications n'était pas convaincante pour la fillette. Quoi voudrait construire un battiment qui risque de s’effondrer? Personne. Il à du se passer qq chose.

Elles entrèrent dans la banque, l'intérieur était sombre, mais d'une grande beauté. La sale était plaine de colonnes et des deux coter des rangées de banc était alliner. Des sorcier fessait la file devant chaqu'un des banc. Enid était fascinée par l'endroit mais surtout par les Goblins. Elle avait lui beaucoup de choses dessus, mais elle n'en avait jamais vu en vrais. Ils était vraiment affreux. Elle s’avencèrent vers le guichet dont la fille était la plus courte et après plusieurs minutes d'attentes Enid se retrouva face à un Goblin. Marion parlent très peut l'anglais, elles c'était mise d'accore pour que sa soit la petite elle même  qui demande son coffre. Mais Enid avait d'autres choses en tête.

« Pourquoi le battiment-est-il panaché ? » Demande-t-elle en fixant le banquier dans les yeux.